Ouverture : Rex Britannorum (Shakos)

Parce que les petits jeux simples et rapides avec une saveur historique ça nous plaît aussi, mais surtout parce que l’auteur de Rex Britannorum est aussi l’auteur de l’excellent Border States, à savoir M. Stéphane Brachet, nous avons planté la tente devant le siège de Shakos Edition afin d’obtenir une copie presse (c’est comme ça qu’on dit).

Rex Britannorum est un jeu de plateau pour 1 à 3 joueurs, destiné à un public familial+ (les règles sont très accessibles) et qui vous place à la tête d’une des trois grandes tribus bretonnes qui se disputaient la Grande Bretagne/Britannia à l’Antiquité.

Voilà pour le contexte historique. Les mécanismes et éléments de jeux sont loins des wargames habituellement présentés ici et pour être franc, la DA assez clivante faisait que nous avions regardé d’assez loin cette sortie de Shakos. Alors pourquoi cette boîte se retrouve t-elle entre nos mains ? Nous avons joué à Border States ! Et oui car avec des petites mécaniques simples et bien pensées, l’auteur permet au grand public de découvrir des tranches de l’Histoire tout en apportant un challenge suffisamment intéressants pour intéresser le plus grand nombre. Que ce soit via des petits blocs cachés ou via des cartes comme ici dans Rex Britannorum, la tactique et le bluff sont omniprésent. Et ça marche !

Et sans dévoiler entièrement notre avis qui sera publié après quelques parties, le jeu est aussi efficace en solo qu’à plusieurs, tant le système et simple et fluide. Chaque joueur aura deux cartes d’objectifs secrets à remplir et aussi l’ambition d’aller le plus loin possible sur les contrôles de villes/régions et routes.

Au niveau matériel, nous sommes sur les standard des jeux de plateaux avec du bois (plein), des cartes (un paquet par faction, trois paquets d’objectifs secrets, ainsi que des cartes mercenaires) et un plateau très coloré mais surtout très fonctionnel. On oublie vite ces couleurs pour ne voir que les objectifs !

Disponible directement sur la boutique de l’éditeur : Rex Britannorum

Merci à Shakos pour leur confiance.